Les cordes frottées

Introduction

Lis attentivement et complète le document ci-dessous en visionnant le film « De l’arbre au violon »

Le violon

C’est peut-être le plus populaire en Europe des instruments à cordes frottées. De petite taille, il possède un son aigu mais également des médiums chaleureux. Énormément de compositeurs ont écrit pour cet instrument. Il fait partie de l’ensemble des cordes frottées, et est employé presque toujours dans les orchestres symphoniques pour sa sonorité homogène.

L’alto

L’alto est très proche du violon, mais il joue un peu plus bas car il est plus grand. Il possède les mêmes qualités que son petit confrère. Néanmoins, le répertoire est moins varié car l’alto possède un volume sonore moindre par rapport aux autres instruments de la famille (violon, violoncelle et contrebasse). Il se tient de la même manière qu’un violon.

Le violoncelle

Le violoncelle est, tout comme le violon et l’alto un instrument très prisé dans l’orchestre. Il fait partie du registre des cordes et a également un son très homogène. Il existe un très grand répertoire pour cet instrument fabuleux à la sonorité si chaleureuse. Il peut exprimer une gamme d’émotions presque infinie. Il jouit donc d’un répertoire (nombre de pièces de musiques existant spécialement pour cet instrument) très très varié.

La contrebasse

La contrebasse est le plus grave des instruments de l’orchestre symphonique. Mais si cet instrument a eu énormément de succès dans le monde la musique « classique », il est rené dans celui du jazz. La contrebasse possède beaucoup de qualités musicales qui peuvent être exploitées pour donner une musique joyeuse. Voici d’ailleurs une vidéo montrant une manière peu « catholique » de jouer de cet instrument, pour le plaisir des yeux et des oreilles.

Le quatuor à cordes

F. Schubert Quatuor à cordes No. 14 in D Minor, D. 810 _ Der Tod und das Mädchen II. Andante con moto
Interprètes: Quatuor Hagen (photo)
2 violons, 1 alto, 1 violoncelle

La vielle à roue

La vielle à roue apparaît au Moyen Âge, dès le IXe siècle.

Deux cordes, appelées chanterelles, passent par le clavier ; leur longueur de vibration est changée par l’action des touches appelées sautereaux.

Les bourdons quant à eux sont des cordes qui frottent en continu sur la roue et donne donc un son tenu (comme les bourdons de la cornemuse).